Le néo-Lanestérien Yann LE BUREL, surnommé « Bubu » dans l’équipe, raconte comment il vit ce stage à Peyragudes. Evoluant encore chez les juniors, Yann évoque, comme Anthony MIRA, son passage chez les élites.
– Comment se passe ce stage pour toi et quelles étaient tes attentes vis-à-vis de ce stage ?
Yann : Nickel ! Mais je ne m’attendais pas à ce que les cols soient aussi durs et fassent aussi « mal » ! Il y a une super ambiance et c’est super bien organisé au niveau logistique. Tout est « carré » : ici, l’heure, c’est l’heure et tout est prêt comme il faut. Mais en même temps, on a du temps libre. Ici, c’est un environnement énorme et grandiose !
Mon objectif sur ce stage est de me tester par rapport à moi-meme, tester mes capacités physiques et savoir où je me situais par rapport à mes coéquipiers.
– Tu arrives cette année au sein de l’AC LANESTER 56. Quelles sont tes premières impressions sur le club ?
Yann : Ce qui change principalement par rapport à ce que j’ai déjà connu, c’est le staff, qui est très professionnel dans l’approche. Il y a un coach qui coordonne tout, avec des assistants qui font un super job ! Tout le monde s’entend super bien et ils font tous un super travail ! De plus, j’apprécie beaucoup le fait qu’il n’y ait aucun favoritisme et que tout le monde soit logé à la même enseigne. Personne ne se met au-dessus des autres et le staff s’occupe de chacun de la même manière, quel que soit le niveau !
– Tu étais encore junior l’année dernière. Comment appréhendes-tu le passage chez les élites ?
Yann : En fait, ce qui est cool, c’est que le coach m’a laissé la possibilité de pouvoir prendre une licence de 2ème catégorie, tout en intégrant l’équipe élite. Même si je vais courir en priorité sur les épreuves de 1ère catégorie, cela me permettra de resdescendre de temps en temps pour me « refaire la cerise » !
– Un petit mot pour terminer ?
Yann : L’ambiance est géniale ! J’ai tout de suite été bien intégré par l’équipe. Le fait que ce soit « carré » me plaît ! Dans l’équipe, on sait être sérieux, faire le « job », et malgré tout, on peut se marrer à côté de ça, il y a un temps pour tout !
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